Chez LEROY MERLIN, la culture d’entreprise est basée sur le partage. Très souvent, on associe cette idée à l’actionnariat mis en place dès les années 80 pour l’ensemble des collaborateurs. Mais à y regarder de près, être associé aux performances, ce n’est que la dernière étape, fort logique au demeurant, d’un engagement réciproque entre l’entreprise et ses collaborateurs. On vous explique tout ça…
Le partage : plus qu’un discours, une réalité
Oui, la rémunération est essentielle à la motivation. C’est un levier fort pour responsabiliser et récompenser les équipes. Et cette notion de partage a toujours fait partie de l’ADN de LEROY MERLIN parce qu’elle est puissante pour créer un cadre de travail stimulant. « Elle fait partie de notre socle culturel, c’est ce qui anime l’ensemble de nos collaborateurs dans leur quotidien. » explique Virginie Ginet, responsable du partage et des avantages sociaux. Nous l’avons donc naturellement inscrite dans le cadre de notre culture d’entreprise basée sur 4 piliers :
Le vouloir : c’est l’envie de faire avancer les projets ensemble. A commencer par l’avenir de l’entreprise co-construit ensemble dans le cadre de notre démarche Vision.
Le savoir : c’est l’opportunité de faire partie d’une entreprise apprenante, où les connaissances circulent pour booster les compétences de chacun.
Le pouvoir : c’est la place laissée à l’esprit entrepreneurial, la liberté d’agir, chacun à son niveau et de mettre ses talents au service de l’entreprise. Avec, corrélativement, un droit à l’essai et à l’erreur qui incitent d’autant plus à l’initiative.
L’avoir : c’est donc la possibilité de partager ensemble tous les fruits de la valeur créée avec cette dynamique collective. Intéressement, participation aux bénéfices, actionnariat : la redistribution se décompose en trois niveaux. Chaque trimestre, l’intéressement est calculé au niveau de chaque site (siège, entrepôts, magasins) sur les résultats économiques qu’il a réalisé à son niveau mais aussi sur l’évaluation de la satisfaction client mesurée auprès des intéressés. L’intéressement est complété par une participation aux bénéfices annuelle, selon une formule qui va au-delà de ce que la loi exige. Enfin, troisième étage de la redistribution, l’actionnariat permet à chaque collaborateur de devenir copropriétaire du groupe ADEO dont Leroy Merlin est l’entreprise pionnière. Aujourd’hui, plus de 95 % des collaborateurs ont choisi d’être actionnaires et détiennent 14 % de l’entreprise.
« Ces 4 piliers du Partage, c’est une chaîne vertueuse. Pourquoi ? Parce que, quand chacun s’implique dans la construction de la stratégie de l’entreprise (vouloir), quand chacun se forme et monte en compétence (savoir) et quand chacun se responsabilise sur ses objectifs (pouvoir), on crée de la valeur, et cette valeur, on la partage. » résume Virginie Ginet, responsable du pôle Rémunération et Partage.